Arras Film Festival 2018: A la rencontre de Maxime Ducrocq

L’Arras film festival, ce sont des films mais aussi des rencontres.
Aujourd’hui, nous avons fait la rencontre de Maxime Ducrocq qui s’occupe de l’organisation de l’événement.

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Prénom : Maxime
Nom : Ducrocq
Age : 29 ans
Profession : Auto-entrepreneur dans le service de l’événementiel 

En quoi consiste votre métier ? Mon métier consiste en la gestion de tous les moyens techniques sur tous types d’événements, particuliers, professionnels, collectivités, associations, … 

Quel a été votre parcours ? Pendant mon premier stage de BEP, j’ai été directement embauché par la boîte qui m’accueillait. Je n’ai donc jamais poursuivi mes études et je suis toujours resté dans ce domaine.

À quoi ressemble votre journée type sur le festival ? J’arrive aux alentours de 8h du matin pour préparer l’ouverture du village (nettoyage, remise en place des tables et des chaises, changement des affiches en fonction de la programmation du jour, …). Puis, durant la journée, on accueille et on escorte les artistes, et c’est également nous qui assurons le service technique, aussi bien sur le plateau qu’au casino ou au cinéma.

Quelles sont les qualités nécessaires pour réussir dans votre profession ? Il faut être multitâches, parce qu’on doit pouvoir répondre à des demandes complètement différentes, et avoir une bonne mémoire pour ne pas oublier toutes les tâches qu’on nous rajoute au fur et à mesure.

Quel aspect de votre métier préférez-vous ? Ce que je préfère, surtout au festival, c’est être dans le noir, donc travailler dans l’ombre pour que le public ne s’aperçoive de rien. Par exemple, le décor bleu des conférences de presse est monté et démonté à une allure phénoménale et les gens n’y voient que du feu. Tout ces détails permettent de m’être tout le monde à l’aise.

Quel est l’aspect le moins sympa ? Les temps morts. Sur le festival, on a un rythme assez soutenu, mais il arrive qu’il y ait des heures creuses durant lesquelles nous devons quand même, être prêts au cas où on aurait besoin de nous. 

Par Flora Klich, Clémence Martin